C’est après le symposium de sculpture (voir rubrique « La Vénus de Mila ») de Piedimonte, village situé près de Taormina, sur les pentes de l’Etna, que j’ai repris ce travail « land art » qui continue ma série des « Sentinelles de l’improbable ». (Montagnes, Océans, Moyen Orient, Afrique, New York…) Ce sont des pierres que je pose en équilibre et qui s’élancent vers le ciel, vers des interrogations, vers mes rêves et, je l’espère, vers les vôtres.
Ici, j’ai été fasciné par l’Etna, cette grande dame, « La Montagna », qui crache régulièrement des coulées de lave et dont les fumerolles quotidiennes rappellent sa présence active.
J’ai « escaladé » la face Nord, à partir de « Piano Provenzana », dans la longue et impressionnante coulée de 2002, j’ai marché pour découvrir la face Sud et l’immense coulée du « Valle del Bove », j’ai accepté la voiture pour me rendre, toujours sur cette face sud, jusqu’à la station de ski au milieu d’innombrables cratères.
Je remercie Lilli qui m’a accompagné, soutenu et photographié.